Fantasía

Espejismos áridos que vagan en desiertos soleados

que controlan la vista en catálisis repentinas.

Castillos en el aire, de valles grises rodeados,

que atrapan el atardecer en aldeas vecinas.

Sueño y veo las arenas doradas por el sol,

cada mañana brillan como el codiciable oro,

pero cuando se escuchan las olas en el caracol,

se visten del lodo negro escondiendo su tesoro.

Cantos de sirenas en noches románticas,

se escuchan en compás de coros siderales,

atravesando los valles en visiones cuánticas

abren el paso en las noches a cósmicos portales

Se enciende un carro gris, sucio y viejo,

y avanza en procesión de triste pupila.

Se estaciona y bebe agua de clorofila,

alistando sus alas hacia el cielo en cortejo.

Un deja vu de conjuro de fantasía,

aparece en bitácora del alquimista.

La fantasía está en mis sueños noche y día,

y es como el rostro de una musa violinista.

Su sonrisa queda grabada en el mar.

Fantasía, vistes tus mejores galas,

renovando tu vuelo en mágico cantar,

riegas la ciudad dormida con tus espesuras,

despertando en una tierra llamada Honduras.

Arid mirages that wander in sunny deserts

that control the sight in sudden catalysis.

Castles in the air, surrounded by gray valleys,

that trap the sunset in neighboring villages.

I dream and see the sands golden by the sun,

every morning they shine like the coveted gold,

but when the waves are heard in the snail,

they dress in black mud hiding their treasure.

Siren songs in romantic nights,

they are heard in compass of sidereal choirs,

crossing the valleys in quantum visions

they open the way in the nights to cosmic portals

A gray car, dirty and old, lights up,

and advances in the procession of sad pupil.

It parks and drinks chlorophyll water,

readying its wings to the sky in procession.

A deja vu of fantasy spell

appears in the alchemist’s logbook.

Fantasy is in my dreams night and day,

and it is like the face of a violinist’s muse.

Her smile is engraved in the sea.

Fantasy, you wear your best clothes,

renewing your flight in magical singing,

you water the sleeping city with your thickets,

waking up in a land called Honduras.

Des mirages arides qui errent dans les déserts ensoleillés

qui contrôlent la vue dans une catalyse soudaine.

Des châteaux dans les airs, entourés de vallées grises,

qui piègent le coucher du soleil dans les villages voisins.

Je rêve et je vois le sable doré par le soleil,

chaque matin, ils brillent comme l’or convoité,

mais quand les vagues se font entendre dans l’escargot,

ils s’habillent de boue noire et cachent leur trésor.

Chants de sirènes dans les nuits romantiques,

on les entend au milieu des chœurs sidéraux,

traverser les vallées dans des visions quantiques

ils ouvrent la voie dans la nuit vers des portails cosmiques

Une voiture grise, sale et vieille, s’allume,

et avance en cortège d’élève triste.

Il gare et boit de l’eau chlorophylle,

préparant ses ailes vers le ciel en procession.

Un déjà vu de sortilège fantastique,

apparaît dans le journal de bord de l’alchimiste.

La fantaisie est dans mes rêves nuit et jour,

et c’est comme le visage d’une muse violoniste.

Son sourire est gravé dans la mer.

Fantaisie, tu portes tes plus beaux vêtements,

renouvelant ton envol en chant magique,

tu arroses la ville endormie avec tes fourrés,

se réveiller dans un pays appelé Honduras.

Lic. Carlos Hernández.

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